Seul lien entre les victimes ? Aimer la musique... Qui peut bien tuer pour cette raison ?
Une femme est retrouvée morte au fond d'un ravin. Aucun indice. Aucune piste. L'affaire a toutes les chances d'être classée sans suite. Adrien Otz, chargé de l'enquête, s'entête et se met à fouiller dans les archives. Il y exhume des précédents : cinq femmes, cinq musiciennes, décédées sans mobile apparent, sauf celui d'aimer et de pratiquer la musique. On ne tue pas pour ce motif, et l'on ne tue pas par hasard non plus.
Qu'ont-elles pu faire pour pousser le meurtrier au geste fatal ? Pour comprendre le sens de cette partition qui se répète, le gendarme, mélomane de surcroît, entre dans les coulisses d'un orchestre de musique baroque. Un ensemble en quête de reconnaissance, miné par les luttes d'ego et les affrontements de ses divas...
Au-delà des représentations musicales auxquelles il aura le privilège d'assister, Adrien Otz découvrira que, derrière la beauté et l'élégance, se cachent l'ignominie et l'horreur.
Musicien et choriste, Pierre Ménard signe ici son troisième polar. Le précédent,
La Mort ne résout rien (2020), a été très bien accueilli par la critique.
Un nouveau polar signé Pierre Ménard qui saura ravir tous les adeptes du genre !
À PROPOS DE L'AUTEUR
Journaliste spécialisé dans le sport automobile historique,
Pierre Ménard est l'auteur de
La grande encyclopédie de la Formule 1 ainsi qu'une série de biographies sur certaines légendes de F1, Fangio, Moss, Ascari, Lauda, Prost, Senna et d'autres encore. Après avoir écrit les histoires des autres, il a voulu raconter « ses » histoires, via le roman policier. Son premier « rampol »
Le rodeur de minuit (Atelier de presse,2007) est nominé au Festival du premier roman policier de Lens en 2008, où il atteint la finale et est battu par Michel Bussi et son
Omaha crimes !