Surtout connu pour
Le monde de Narnia et son apologétique chrétienne, C. S. Lewis fut aussi un géant intellectuel qui a vivement et sévèrement critiqué le dogme à la mode connu sous le nom de scientisme - l'idée réductionniste que la science serait l'unique voie d'accès à la connaissance et à la réalité fondamentale.
S'appuyant sur le chef-d'oeuvre de C. S. Lewis,
L'abolition de l'homme, Michael D. Aeschliman le prolonge ou pour mieux dire l'actualise ici, en convoquant tous les grands auteurs anglo-saxons partisans de la philosophie classique, tels Johnson, Chesterton ou T. S. Eliot, mais aussi Pope et Dante, ou les philosophes des sciences Pierre Duhem et Stanley L. Jaki. Et bien sûr les classiques Platon, Aristote, saint Thomas d'Aquin...
Face au matérialisme, au scientisme et au transhumanisme qui n'est que leur plus récent et vulgaire avatar, voici un ouvrage salutaire pour restaurer l'homme dans sa vraie richesse.
Un index biographique des auteurs vient le compléter, faisant de cet ouvrage une synthèse essentielle en philosophie et sciences politiques.
Préface par le docteur James Le Fanu
Dans les médias« À l'heure où certains tentent maladroitement de bricoler l'éthique pour en faire la chambre d'enregistrement des progrès les plus effrayants de la technique, cette lecture semble plus nécessaire que jamais. » (Le Figaro magazine)
À PROPOS DE L'AUTEUR
Michael D. Aeschliman est professeur émérite de l'université de Boston. Il a enseigné par ailleurs dans les universités de Lugano et de Columbia (NY). Spécialiste de Charles Dickens, il est un auteur incontournable sur C. S. Lewis.