" Le regard d'Alphonse a changé. Des lumières s'y sont allumées et ont ravivé le bleu extraordinaire de ses yeux. Jean-Sébastien est fasciné par la transformation. Tout à coup, une main glacée se pose sur sa propre main et la retient avec fermeté. Les secondes s'écoulent, interminables. Le regard se fait dur, la bouche du vieillard se crispe et les paroles sortent comme des couteaux :- Tu n'as pas honte de détruire ce qui ne t'appartient pas ? Qui que tu sois, sors de ce corps et laisse mon petit-fils en paix ! "
Le regard d'Alphonse a change. Des lumieres s'y sont allumees et ont ravive le bleu extraordinaire de ses yeux. Jean-Sebastien est fascine par la transformation. Tout a coup, une main glacee se pose sur sa propre main et la retient avec fermete. Les secondes s'ecoulent, interminables. Le regard se fait dur, la bouche du vieillard se crispe et les paroles sortent comme des couteaux : - Tu n'as pas honte de dtruire ce qui ne t'appartient pas ? Qui que tu sois, sors de ce corps et laisse mon petit-fils en paix !